Philosophy Questions
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"C'est dans les mots que nous pensons . [...]C'est pourquoi vouloir penser sans les mots apparaît comme une déraison." - Georg Wilhem Friedrich HEGEL
"Ce que j'ai saisi si simplement dans ma capture, je ne puis point te l'énoncer. Car il faut que tu aies toi-même marché pour recevoir dans son plein sens la montagne de mon poème. Et de combien de mots, pendant combien d'années, ne faut-il pas que j'use si je désirais transporter la montagne en toi qui n'as jamais quitté la mer?" - Antoine DE SAINT EXUPERY
"La honte, dans sa structure première, est honte devant quelqu'un [...] La honte et par nature, reconnaissance. Je reconnais que je suis comme autrui me voit"
Encyclopédie des sciences politiques, tome III, Philosophie de l'esprit (1827)
"Le mot emmagasine ce qu'il y a de commun et par conséquent d'impersonnel dans les impressions de l'humanité [...] Chacun d'entre nous à sa manière d'aimer et de haïr, et cet amour, cette haine, reflètent sa personnalité tout entière. Cependant, le langage désigne ces états par les mêmes mots chez tous les hommes, ne fixant que l'aspect objectif et impersonnels."
<< Inexorablement je porte mon passéCe que je fus demeure à jamais mon partageC'est comme si les mots pensés ou prononcésExerçaient pour toujours un pouvoir de chantageQui leur donne sur moi ce terrible avantageQue je ne puisse pas de la main les chasser >>
Encyclopédie des sciences politiques, tome III, Philosophie de l'esprit (1827)- Georg Wilhem Friedrich HEGELEssai sur les données immédiates de la conscience - Chapitre 3 (1889)- Henri Bergson
Mais finalement, n'est-ce pas le propre de l'homme que de faire preuve d'inhumanité, révélant ainsi l'humanité de la violence dans son inhumanité ?
Mais finalement, n'est-ce pas la sur-conscientisation de la violence qui pousse à une réactualisation de la violence qui fait qu'elle est vécue perpétuellement et par procuration ?
Mais finalement, n'est-ce pas en rendant la violence toujours plus visible que l'homme crée une violence omniprésente ?Mais finalement, les violences les plus visibles sont-elles nécessairement les plus profondes, ou ne dissimulent-elles pas des violences moins superficielles mais plus douloureuses et insaisissables?
Mais finalement, la dénonciation de la violence ne mène-t-elle à de violences vécues par procuration, qui n'ont pas encore eu lieu ou qui n'auront jamais lieu ?
Mais finalement, la violence des mots ne mène-t-elle pas à la violence des maux?Mais finalement, la violence des mots ne s'estompe-elle pas dans la violence d'un silence?
Mais finalement, la culpabilisation de la violence n'émane-t-elle pas de l'inhumanité qui découle de nos violences vis-à-vis d'autrui?Mais finalement, la culpabilisation de la violence n'émane-t-elle pas de la conscientisation des conséquences et de la portée destructrice de nos violences?
Mais finalement, l'homme ne réactualise-t-il pas perpétuellement la violence passée ?Mais finalement, l'homme ne devrait-il pas laisser la violence passée au passé puisque le passé est immuable?
Mais finalement, n'est-ce pas une forme de psychose paranoïaque liée à une sur-visibilité de la violence et une sur-conscientisation de celle-ci qui mène à ce qu'on voit de la violence partout?Mais finalement, n'est-ce pas à force de tout nommer violence que l'homme a fait qu'elle est présente partout?
Mais finalement, la violence ne commence-t-elle pas lorsqu'elle est conscientisée ?
Mais finalement, l'homme ne rejette-t-il pas la faute sur la violence d'autrui pour se dédouaner de ses propres violences?
Freiheit bedeutet für Arendt aktiv am politischen Leben teilhaben zu können.
Sie sind besonders wichtig da Menschen zusammenkommen können und sich austauschen können was Freiheit ermöglicht.
Revolutionen sind nach Arendt die Befreiung von alten Strukturen, und das schaffen eines freien Zusammenlebens.